je dresse ma nappe et je glisse sous elle ma foi,
j’écoute le bruit de sirène qui s'enfonce dans mon crâne
j’entends des alertes de fuite et des mots de politiques,
je ne reconnais pas le cri qui s’abat sur moi
mais je vois la loi en vouloir à la foi,
et loi qui croit peu à ma foi,
je me plaint si jamais je ne vois du ciel descendre mes anges
nous voici au Bénin et la loi interdit
ma prière du vendredi tout le long de rue
rien à faire on cogne le front comme on cogne au front...
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