soupe dans la coupe de mon nombril noire
boire à la sève d'entre mes jambes mouillées
et gémi sous l'effet de ma courbe arrondie et rebondie
parcours mes allées profondément
et démantèle les zones cachées de mon plaisir
fait des demi-cercles autour de mes lèvres en deçà
et comme un vent léger, glisse toi prudemment,
vient plus prés de ma perle
et que d'elle ,s'effondre l'huile qui revêt ton armure,
pose encore ton torse sur mes tours jumelles
et que mes deux pointillons butent , froidement ta poitrine.
et qu'à l'instant toi et moi
coup après coup ,nous en venons à s’évader,
oh mon tendre verger est à toi,
me voici tout à toi, l' espace pittoresque
que ton engin de guerre,
explore le champs à défricher, et bute les parois en cascade.
voici à toi, la chute fluide de mes artères.
que viennent et naviguent tes petits soldats empressés,
je t'offre ma peau et mon odeur
je t'offre mon corps et sa chaleur
je t'offre le gémissement de ma gorge qui murmure
ces doux vas et viens parfois discontinus.
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