vendredi 31 août 2018

JOURNEE MONDIALE DU BLOG 2018: Voici le thème retenu au Cameroun!




De deux choses attractives  l'autre c'est la pédagogie. 

L'une d'elle se veut plurielle, elle s'émancipe à travers la mode la musique le sexe  le tourisme ... et le champ lexical qui s'y rattache. 
L'autre se veut ouverte et virulente, elle s'émancipe à travers la politique, la santé, la faim, l'éducation, l'environnement ... et le champ lexical qui s'y rattache . 

De ces deux choses connues, une troisième est inconnue : c’est  l'auteur qui  est blogueur,
C’est l'auteur qui défend l'idée de l'une et de l’autre, c'est bien le blogueur depuis TIM BERNERS LEE  en 1990 date de création du premier site Internet. Et à  cette troisième se greffe une quatrième qui est le lecteur.  Devrais-je dire de ce quatrième qu'il est un follower et de dire du troisième qu'il est un leader ?  Problématique largement ouverte.

- Le premier adjectif est une discipline de lecture  et pourtant le blog ne lui enseigne pas la conduite
- Le second adjectif est une mission et pourtant le blog sous d'autres cieux est sans itinéraire (au Cameroun le blog n’a point de carrefour et  pourtant il existe tant de chemins qui  se ressemblent mais ne se croisent pas) 

Ce 31 août 2018 voici 13ans que l'on célèbre le blog (une initiative de l'israélien NIR OFIR lancée en 2005) mais  sais-tu le thème de cette célébration ?  Il n'y en a  pas et pourtant le blog est une école de savant et d'écriture mais le véritable  leader est le lecteur. 
Et parce qu’il est au service  du lecteur, le bloggeur se doit d'initier son lecteur à le lire mais à lire (si on aspire à avoir un blog  ou si on l’a déjà)  les autres avant d'écrire.
Alors disons-le ainsi : le thème de cette année au Cameroun est " blog: lire les autres avant d'écrire "









lundi 27 août 2018

SOMMES NOUS SI PEU FACE AU 9 AUTRES CANDIDATS ?


Au loin nous nous agrippons à nos idées de révolutions, d’autres sur leurs itinéraires celui du même système en place et les uns l’esprit ailleurs,  tournée vers un pays à feu et à sang si le même système résiste encore.
Il faut bien allez aux urnes, et nous de la diaspora,  nous l’avons compris et dans les 31 pays d’Afrique, en Amérique en Asie en Europe où sont logés nos bureaux de vote  nous nous sommes chacun à sa façon décider à voter contre ou pour.
 Le 16 aout 2018,  ELECAM a fait savoir aux oreilles du monde que nous sommes 13076 camerounais de l’étranger à s’être inscrits sur les listes électorales et appels par ricochet à voter  le 7 octobre 2018 date de convocation du corps électoral .

Noire est ma couleur de peau comme ces 10123 inscrits que compte le continent africain,  et qui regroupe les ¾ de l’électorat de la diaspora , l’épicentre c’est  au Gabon, un pays voisin au Cameroun .  
 Là-bas mes frères majoritairement inscrits sont au nombre de 3530 inscrits, mais à l’autre bout  du monde aucun camerounais des Etats unis ne s’est inscrit  mais bref c’est aussi un choix politique.
Les inscrits se sont entassés sur des listes, l’œil perçant les lignes blanches des pages d’ELECAM, l’on vint à sourire tout à coup lorsque visiblement les femmes se sont montrées très engagées que les hommes avec un nombre de 6676 contre 3447 inscrits pour les hommes.

En face de ces chiffres de la diaspora,  9 candidats doivent grignoter au maximum et  comme nous sommes tous amassés  dans la même salle d’attente, on ne sait si tout sera véritablement révélé au lendemain dans les 23000 bureaux de votes ouverts dans les 10 régions du Cameroun  où on  compte environ 6 millions d’inscrits.
Mais au fond il faut choisir peu importe l'issue prévisible.

lundi 6 août 2018

L' ASSOCIATION DES BLOGUEURS DU CAMEROUN : EXIGENCE D'UNE THÉRAPIE LOIN DES CONVENTIONS.


Mais avant  9 heures, heure de mise en valeur de cette sacrée signature entre le système des nations unies en abrégé SNU et l’association des blogueurs du Cameroun en abrégé ABC,
 il y a plusieurs autres heures creuses qui s’engraissent d’un silence soupçonnable, qui se nourrit d’une part, de l’incessante attente de l’heure fatidique de la signature par un bureau exécutif maitrisant les contours de ce qui semble faisable alors que le plongeur  est au fond des eaux pour traire du sable , et la volonté non dévoilée  à comprendre  où ces conventions nous mènent tant les acteurs jouent des rôles confus dans une pièce de théâtre où, les scenarios ne se comprennent que si l’incision se révèle,
Et de quelles incisions parle-t-on ? Des annonces de « si » comme argument de force de x  et des déclarations de « ça » comme réponse à une  contestation ubuesque de y ! Il le faut bien pourtant mais nul n’est le cas.  
Mais l’heure fatidique  c’est bien  demain mardi 7 Août  2018  à 9h,  à 1heure de la publication de la liste définitive des candidats à la présidentielle de 2018 au Cameroun  par le conseil électoral.  Un peu plus tôt  il était dit 14h pour parapher les documents et  c’est le système des nations unies qui gouverne logiquement à en croire la paperasse sous  nos yeux  à Yaoundé.
 Le document sera signé entre le Président de l’association des blogueurs et la représentante des nations unies au Cameroun mais  où sera celui de l’union internationale des télécommunications que j’ai nommé Jean Jacques Massima-landji ?
Le 7 aout 2018 ne sera-t-il  pas historique pour les blogueurs camerounais ? Pas tous évidemment, la zone anglophone n’y est  pas toujours  associée. Le 7 aout 2018 sera-t-il  en effet une date historique comme celle du 25 juillet 2018 qui a marqué la nomination du camerounais Victor Kisob comme directeur exécutif adjoint du programme des nations unies pour les établissements humains en abrégé UN-habitat ?

Sera-t-il   historique comme ce fameux  23 mai 2018 où durant 3jours le Cameroun a accueilli la conférence sous régionale sur le développement de l’économie numérique pour les pays de l’Afrique centrale sous le thème « l’économie numérique en Afrique centrale : états des lieux et défis dans un monde globalisé » ? Des questions sans réponses jusqu’ici !
 Je nous découvre muets,  devant la splendeur du système des nations unies qui aujourd’hui compte au moins 20 agences de fonds et de programmes au Cameroun, à ce stade , que va-t-il nous demander en retour dans ce système au voile bleu ?  Où devra-t-il s’arrimer à l’ABC  qui sait si bien dire « qui fait dans si pour faire ça, Car le système des nations unies recherche si pour faire ça ? »
 Mais qu’en est-il de l’association des blogueurs du Cameroun  tant individuelle  dans sa moelle mais pourtant faite de corps bâti et demeure  trop ambitieuse   pour taire l’interminable résonance :  « du chacun pour soi son blog en soi ».






vendredi 3 août 2018

DOVV ton peuple meurt de faim

 Voici la récompense de la vie, celle du super marché DOVV et des souvenirs de galère,  sur la ruelle d'Essos où se dessinent de milliers de pistes d’espoir, espoir de mamelles nourricières puisque une  femme de bonne volonté en ce 1er août 2018 à Yaoundé nous  offre la manne tant  espérée : de l’argent ! Et de quoi nous nourrir !
 De loin,  ceux aux regards prudents voient bien la folle qui se déguise en bienfaitrice, s’étonnent cependant que la foule, elle court pour un bout de pain,

cette foule d’hommes et femmes qui au quotidien  fréquentent leurs allées  sans jamais trouver une galette pour chien soigné ,  mais les autres  dans la misère de ce pays , sous le chaud soleil des jours de balades au ventre creux , ceux-là ont vu une bienfaitrice tout simple , un type de mirage qui nous enseigne la douleur de MIDA , une affaire d’arnaque révélée  le 7 mai dernier par le journal camerounais intégration,  je nous revois sous cet  autre heure nos larmes chaudes fuirent nos corps comme la peste quitte  la brousse et se loge dans nos entrailles .
 Et que de même  l’illusion que nous offre  l’immigration est de croire que l’apparition de la vierge Marie  en date du 18 juin 2018  à  la cour du bâtiment C de l’Hôpital Ad Lucem, située à 12 km du centre-ville de Zoétélé, département du Dja-et-Lobo, devenue  véritable lieu de pèlerinage est le salut pour  délivrer  le malade de sa situation  mentale.

 La foule avait gagné la façade du  supermarché DOVV à Yaoundé par la puissance des réseaux sociaux  et   là nous nous étions très vite amassé  comme une meute de moutons sans berger,  mais mal  éduqué  par la volonté de vaincre  individuellement  la pauvreté : mais là nul ne sut que le diable n'est pas toujours habillé en Prado et que oui mon Dieu,  l'argent a une couleur, parfois celle  l’aveuglement.