puisque nous avons tous manqué la vague, allons à la nage.
Le surfeur devra alors redoubler d'effort comme,
ce journaliste aux bracelets trop serrés sur les poignées.
Il devra attendre la vague et ne pas la louper cette fois ci.
Puisque nous avons tous une nation à défendre, allons en guerre.
Le porte parole devra alors ajuster ses mots et ses armes comme,
ce ministre Issa Tchiroma qui affirme,
"que la liberté de la presse s’arrête là où commence la
menace à la souveraineté nationale"
C'est un jeudi 27 avril 2017 que cette réplique s'est faite entendre contre RFI
cette dernière voyez vous m'avait auparavant signalé à haute voix:
"Cameroun journaliste ,un métier à risques"
Et dans l'une de ses publications du 26 avril 2017 à 10h et 26 minutes ,
RFI, la dame aux longues cheveux et trop bien habillée,
parfumée mais d'un visage cette fois démaquillée,
me fit savoir que la condamnation à 10 ans de prison ferme,
avec une amande de 56 millions de FCFA (85 000 euros);
de son correspondant en langue haoussa Ahmed Abba reconnu coupable
de « blanchiment de produits de terrorisme » et « non dénonciation d’actes terroristes »)
est une décision qui confirme,
la difficulté d'exercer son métier de journaliste au Cameroun.
je la regardais et je savais ce qu'elle endurer.
Et comme ce journaliste aux bracelets trop serré sur les poignées,
il fallait qu'elle redouble d'effort et « c’est la liberté d’informer et d’être informé qui est
mise en
cause. RFI en appelle à la mobilisation générale de tous ceux
qui dans
le monde se battent pour défendre ce droit fondamental»
elle je l'ai compris et lui aussi monsieur le ministre; « Ce que RFI a fait inacceptable »
le Cameroun est un pays où la liberté de presse est une réalité.
De deux choses à nues, l'une est une nation et l'autre un média.
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