où se brisent les notes des incrédules, l'on les transperce en obligeant
la justice et la compétence à régner.
Que nul ne demande d'exorciser notre démocratie ,
celle qui est sévère et qui renverse l’inattendu ,
hommage donc au Gabon , où ses fils politiciens se sont vus
les deux paires de fesses souillées sur du sol glacé.
Le bruit qui court n'est pas une rumeur et l’incompétence doit être dénoncer et punis.
Ce 30 avril 2018 lorsque la nuit se jeta sur la lenteur décisionnelle du gouvernement Bongo,
vint à lui et à sa troupe un tremblement politique terrible;
celui de la dissolution immédiate de l’assemblée nationale. Et bien assisse sur son fauteuil constitutionnel , Marie madeleine Mborantsuo ne gesticule pas et ne parle que pour dire
ce qui est du droit fondamental gabonais:
"les pouvoirs de l'Assemblée nationale prennent fin dès la notification de la présente
décision aux autorités publiques, dont le président de l'Assemblée nationale."
Par ces propos scellés , le sort de l’assemblée nationale est achevé,
la cour constitutionnelle gabonaise comme la férocité d'un aigle convoitant sa femelle,
vient de supprimer de la sphère politique l’assemblée nationale,
tout en demandant poliment au gouvernement d' Ali bongo de démissionner.
Allez les enfants vidés vos berceaux car vous êtes trop bien installés
à faire fondre le budget de l’État car incapable d'avoir pu organiser ,
les élections législatives avant la fin du mois d'avril et ceci après deux reports
de ces élections depuis décembre 2016.
"le gouvernement n'a pas pu accomplir les missions qui lui sont dévolues,
notamment la révision de la liste électorale depuis 2017 et la mise en place
du Centre gabonais des élections, depuis janvier 2018" peut alors se vanter Marie madeleine Mborantsuo présidente de la cour constitutionnelle et voici qu'à cette allure ,
l'on n' hésita pas à prier Ali bongo de nommer un gouvernement de transition
qui aura pour mission d’organiser les élections législatives très attendue.
ayons la bonne foi de dire que le Gabon inclut la liberté de pouvoirs
comme principe unique de la démocratie et " Dans le souci d'assurer le
fonctionnement régulier des pouvoirs publics, le pouvoir législatif sera représenté par le Sénat".
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