dimanche 1 avril 2018

SAMUEL ETOO FILS NOUVEAU CHEF D'ETAT AU CAMEROUN?

Dites vous capables de devenir président de la république:
ceci pourrait être un poisson d'avril mais là n'est
point une affirmation gratuite de vieux sages amnésiques.
Chaussez simplement vos godasses, entrainez vous et foncez droit au but.
Nul doute alors que la politique camerounaise en perte d'ambition
ne se découvre un nouvel acteur politique et meneur de troupes
et ce pour l'ultime but final qu'est le palais d'etoudi à yaoundé.

A cette allure de l'adversité, vous devez vous voir comme votre
véritable adversaire, pas cette opposition qui lorgne la sensibilité
du peuple camerounais et crée des intox en débat sur la place publique,
et comme le ferais le passionné de foot Wamakoul  qui se trompe
de gradin de supporteurs et crie victoire , ceci au cœur de cette marré
de supporters sauvages  aussi muettes  à l’instant qu'une tombe d'explosifs!
Si donc tu es politicien au Cameroun, la nature t'arrachera ta franchise,
alors soit footballeur et fait toi appeler Samuel Eto'o fils,
puisque "c'est confortablement installé au bord d'une piscine
dans sa luxueuse demeure de Konya , en Turquie que le célèbre
attaquant camerounais  a livré en exclusivité son envie d'envoyer
Le Prince d'Etoudi au vestiaire en fin d'année 2018*,
il est 10h21 un 1er avril 2018 en Turquie quand l'annonce est faite,
le temps est calme et l'aire de jeu s'est aussi apaisée à yaoundé
après la sénatoriale du 25 mars dernier : deuxième du genre
qui marque un coup dans l’histoire politique du Cameroun,
tout comme ce nouveau  candidat des temps modernes  qui
s’échauffe pour pénétrer l'air de jeu politique aménagée
pour la présidentielle de 2018,
"je rêve de la présidence comme jules César rêvait de Rome"
déclare le footballeur Samuel Eto'o comme pour paraphraser l'artiste
Sénégalais Booba lorsqu’il dit "je rêve d’Afrique comme jules César
rêvait de Rome" et dans cette folie de grandeur,
Eto'o fils est en politique ce que la révolte populaire est pour
la bêtise gouvernementale.
comme tout bon footballeur on a la gueule d'un bon président de la république ,
une foule qui vous acclame à votre passage , votre effigie est partout
dans les  rues et toujours au dos des administrateurs dans leurs bureaux,
comme le sont vos posters au mur des chambres.
On a aussi la crise anglophone en commun mais cette fois
"quand on a joué avec John Terry, ce ne sont pas quelques
milices séparatistes  qui peuvent vous effrayer"
pour faire face il faut bannir les cancres et mettre sur pieds une équipe
de football pour diriger la nation
"un premier ministre qui aura sous sa direction 11 ministres et
7secrétaires d’État dans un schéma tactique d'une grande souplesse
respectant l'esprit collectif "
dommage donc pour l'opposition qui bat en retrait et pour le pouvoir
en place qui renforce sa défense en tenant sans doute compte de
l’évolution de la situation sur le terrain.

*infos ou intox à retrouver dans le magazine JEUNE AFRIQUE 



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