Dans la broussaille les Hommes se sont costumés
certains en cravate et d’autres se sont pris la corde au cou.
Au fond de la broussaille la musique en cacophonie s’éparpille
elle se répand sur les terres infertiles où successivement les mélomanes
pas différents d'un mélodrame encaissent avec insistance du plein bruit,
oui trop de bruit dans de la musique au Cameroun et si
ce 9 septembre 2017 les 41statuts de la Société nationale
camerounaise du droit d’auteur en abrégé SONACAM ont été
validés par la majorité des artistes camerounais présents à
yaoundé ceci ce n'est plus pour voir trop d'Hommes quittés
la jungle pour lorgner le goûté des tout petits de la maternelle,
encore agrippés au sein d'une mamelle à peine nourricière.
Mais que l'on chante, mais que l'on chante seulement!
et si les "2400 artistes sur les 3655 inscrits dans le fichier national
des artistes musiciens ont souscrit en faveur de la Société Nationale
Camerounaise du droit d’auteur "
ce n'est plus pour voir nos Hommes compter intelligemment
sur les disques rouillés à force de forger le buzz pour se faire
vendre auprès d'un public espionné.
Mais que l'on chante et chante seulement ce qu'il faut!
L’inventeur du Makassi Samuel Ndonfeng ,
dites le bien fort avec moi Sam Fan Thomas!!!!!
élu président du conseil d’administration de la SONACAM ,
sait que les Hommes pourront désormais brouter où ils sont accrochés ,
chacun à la hauteur de son arbre grimpera les cimes
dans le respect des 41statuts,
en tout cas Adeline Mbenkum porté au poste de vice-président y veillera.
Le mandat exécutif de la SONACAM est de 3ans et pour
les 41 membres du conseil d’administration également élus
et diversifiés entre ancienne ( Manu Dibango, Eko Roosevelt
et Georges Seba sont élus présidents d’honneur) et nouvelle
génération ( Duc z, Salatiel, One Love, Lab’l) de la musique
camerounaise , ils doivent singer les partisans de la fusion
des sociétés de droits
d’auteur SOCAM et CMC.
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