Muselons nos armes!!!

Alors voici comment les bêtes sauvages ont atterri en villes.
Ils étaient si peu au début et peu à peu ils nous ont envahi
dans les salles de classes, dans les hôpitaux, dans les banques
et même dans la cuisines de nos mamans.
Alors voici comment ces bêtes sauvages ont tout ravagé.
Ils n’étaient pas très affamés de légumes ou de patates douces
à huile de palme , ils n’étaient pas très assoiffés d'eau
ou de vin de palme raffiné,

oh que non!  ils avaient de sombres désirs et oui ,
nous humilier,  nous piller et s’enrichir illicitement.
Et les autres à coté des bêtes mais un peu déguisés veulent
le fédéralisme ou l'indépendance.
Et lorsque sous la brimade républicaine qui s’étoffe de tant
de tiraillements au Nord ouest et au Sud ouest du Cameroun,
et lorsque sous la doléance empoissée des séparatistes et
sécessionnistes anglophones,
viennent s'agripper des indésirables personnages qui ne tolèrent pas
le 1er octobre1961,
il n'est donc pas stupide de dire, que les partis politiques au Cameroun,
battront campagne en champagne et en campagne de singe pour 2018
et les voici:

Le ministre d’état camerounais Laurent Esso par une vantardise
diplomatique entend organisé ce dimanche 1er octobre 2017
une marche dite  de "soutien aux institutions" dans les rues de Douala,
oyé vive le RDPC qui milite pour un Cameroun uni et indivisible.
Et les voici:
L’honorable Jean Michel Nintcheu lui du SDF qui se gargarise
d'un parti politique trop à l'opposé de l'opposition camerounaise,
dénonce une "attitude discriminatoire des autorités administratives de la ville"
qui auparavant lui avaient interdit un meeting le 4mars dernier
pourtant dit il , ce meeting œuvrait pour l’éducation et
la sensibilisation au fédéralisme,
oye vive le SDF qui œuvre pour un Cameroun fédéral et entend
 lui aussi organiser un meeting dans les jours à venir à Douala.
à cette suite; les séparatistes anglophones ont choisi  la date
du 1er octobre ce jour qui marque la réunification officielle
des parties anglophone et francophone du Cameroun pour
hurler dans les rues  de Bamenda et Buea comme ce syndicaliste
Wilfried Tassang  "Oui le moment de rupture est arrivé"
mais où donc? aurait sans doute demandaient les Gouverneurs
Bernard Okalia Bilaï du Sud ouest et Adolphe Lele Lafrique du Nord ouest
c'est alors qu' à cet effet,

"il est interdit, dans la région du Sud ouest et durant quatre jours,
(comme au nord ouest précédemment ) les mouvements de moto-taxis,
le transport interurbain, l’ouverture des bars, snacks bars
et autre boîtes de nuits.  Les rassemblements de plus de quatre personnes
dans les lieux publiques sont également proscrits, ainsi que la circulation
aux différentes frontières maritimes et terrestres".
Une annonce de ces mesures restrictives faite dans un communiqué
jeudi dernier,en offensive à l’annonce qui réclame l’indépendance prévue
par les indépendantistes anglophones ce dimanche 1er octobre 2017.
ces mesures ont pris effet ce vendredi 29 septembre
à 21 h jusqu’au lundi 02 octobre à 7 h.
nous y reviendrons...puisque le ministre de la communication
ISSA TCHIROMA est dans nos médias.

Qui est contre le Terrorisme ???

Dimanche sur le Travel Ban de TRUMP ,
ce dimanche 24 septembre, la messe c'est elle qui vient à nous
nous qui sommes musulmans.
Et j’écoute  la prière du vendredi à la mosquée ,
elle est forte et muette à la fois face à ce que l’Amérique
nous reproche car désormais Le Tchad figure sur la liste
noire des États-Unis :Et  le grand Imam regarde le communiqué

du décret américain à nous adressé par la maison blanche.
Il regarde le communiqué avec son voile largement tombé
il regard le communiqué  et lit « Le gouvernement du Tchad est un
partenaire important et appréciable des États-Unis
dans la lutte contre le terrorisme »,
mais le « le Tchad n'a pas pu satisfaire à  toutes nos exigences
en matière de sécurité, et plusieurs groupes terroristes
sont actifs sur son territoire ».
par conséquent ni toi ni moi frère ne mettrons nos pieds sur le sol américain.
Dimanche sur le Travel Ban de TRUMP ,
ce dimanche 24 septembre , la messe c'est elle qui vient à nous
nous qui sommes musulmans et  j’écoute  la prière du vendredi
à la mosquée , elle est forte et muette à la fois face à ce que
l’Amérique nous reproche car désormais le Tchad figure sur la
liste noire des États-Unis:

toi qui est ma terre l'on t'accuse" de manquements à la sécurité
sur tes voyageurs et un manque de coopération avec les États-Unis"
toi qui a sur ton sol la Force multinationale mixte dont le quartier
général est établi à Djamena, cette force compte à ce jour un peu
plus de 10 000 soldats provenant du Cameroun, du Tchad, du Nigeria
et du Niger,
toi qui fait partir du G5sahel( Cette force soutenue par la France)
avec le Niger, le Mali, le Burkina Faso et la Mauritanie,
toi qui est connu comme le troisième contingent le plus important
de la Mission des Nations unies au Mali avec 1 390 hommes
toi qui  a accueilli 400.000 réfugiés et déplacés au cours
de cette dernière décennie.

L'on entend un bruit de couloirs qui fait savoir que le president
IDRISS DEBY  ne s'est pas rendue  à la 72e  assemblée générale
des nations unies parce qu’il est inquiet des "bruits de bottes
[rumeurs de mouvements de groupes armés, NDLR]
dans l'extrême-nord et dans l'est du Tchad"
malgré tout cela  , selon Donald Trump Président des états unis
d’Amérique  tu ne sais pas coopérer contre la terrorisme
tout comme bien d'autres pays musulmans à l’instar de l’Iran, la Libye,
la Syrie, la Somalie, le Yémen, le Venezuela, la Corée du Nord et le Tchad.

De la Sorcellerie à la Saxophonie...

Dans la broussaille les Hommes se sont costumés
certains en cravate et d’autres se sont pris la corde au cou.
Au fond de la broussaille la musique en cacophonie s’éparpille
elle se répand sur les terres infertiles où successivement les mélomanes
pas différents d'un mélodrame encaissent avec insistance du plein bruit,

oui trop de bruit dans de la musique au Cameroun et si
ce 9 septembre 2017 les 41statuts de la Société nationale
camerounaise du droit d’auteur en abrégé  SONACAM ont été
validés par la majorité des artistes camerounais présents à
yaoundé ceci ce n'est  plus pour voir trop d'Hommes quittés
la jungle pour lorgner le goûté des tout petits de la maternelle,
encore agrippés au sein d'une mamelle à  peine nourricière.

Mais que l'on chante, mais que l'on chante seulement!
et si les "2400 artistes sur les 3655 inscrits dans le fichier national
des artistes musiciens ont souscrit en faveur de la Société Nationale
Camerounaise du droit d’auteur "
ce n'est plus pour voir nos Hommes compter intelligemment
sur les disques rouillés à force de forger le buzz pour se faire
vendre auprès d'un public espionné.
Mais que l'on chante et chante seulement ce qu'il faut!
L’inventeur du  Makassi Samuel Ndonfeng ,
dites le bien fort avec moi Sam Fan Thomas!!!!!
élu président du conseil d’administration de la SONACAM ,
sait que les Hommes pourront désormais brouter où ils sont accrochés ,
chacun à la hauteur de son arbre grimpera les cimes
dans le respect  des 41statuts,
en tout cas  Adeline Mbenkum porté au poste de vice-président y veillera. 

Le mandat exécutif de la SONACAM est de 3ans et pour
les 41 membres du conseil d’administration également élus
et diversifiés entre ancienne ( Manu Dibango, Eko Roosevelt
et Georges Seba sont élus présidents d’honneur) et nouvelle
génération ( Duc z, Salatiel, One Love, Lab’l) de la musique
camerounaise , ils doivent singer les partisans de la fusion
des sociétés de droits d’auteur SOCAM et CMC.

TOGO: 50ans de règne c'est trop!

Vous faites silence monsieur le Président, vous le faites si bien!
Ne dites rien monsieur Faure Gnassingbé
ni à la folle marrée qui glissent sur les rues du Togo
ni à Tikpi Atchadam pire encore à Jean pierre Fabre.
Vous êtes si calme monsieur le président ,
jetez un coup d'œil par la fenêtre du palais ,

celle au dessus de votre siège de roi et regardez ,
de Lomé à Anié passant par Sokodé pour Kara,
elles sont prés de 100000 personnes qui sous un fond sonore de reggae
réclament fièrement votre départ:
"Le Togo est dirigé depuis 50 ans par la dynastie Gnassingbé"
et c'est dans le calme que "ces journées de manifestations des 6 et 7 septembre2017
ont été lancées par une coalition de l'opposition togolaise composée du Cap 2015,
le Groupe des six et le Parti National Panafricain.
Que réclament elles?  me demandez vous , Que disent elles? m’interrogez vous
monsieur le président , si je peux me permettre:
votre père le général Gnassingbé Eyadéma a dirigé notre cher Togo de 1967
jusqu’à sa mort en 2005 et vous  avait succédé à ce dernier, avec l'appui de l'armée,
hum pardon je m’excuse! par les élections vous avait par la suite été réélu
en 2010 et en 2015,  lors de scrutins très contestés par l'opposition .
voyez vous, Moi je ne trouve aucun  inconvénient que vous vous éternisez là!

puis-qu’ici c'est votre maison familiale ,
mais ce peuple qui vous connait mieux que moi,
"réclame des réformes constitutionnelles, notamment la limitation
des mandats présidentiels et parlementaires, un scrutin à deux tours,
et il proteste contre votre régime,
voici déjà douze année que vous avait succédé à votre père,
lui-même resté au pouvoir près de quarante ans."
c'est bien là une dynastie à qui je dois respect et loyauté, 
Pour cela à mon niveau, j'ai tenté de jouer à l'apaisement
le mardi 5 septembre 2017 à la veille de ces manifestations,
en annonçant comme vous me l'avez demandé!
une réforme constitutionnelle
concernant la "limitation des mandats et le mode de scrutin",
mais cela semble ne pas dissuader les manifestants.

bien que nos députés sont convoqués en session extraordinaire
mardi prochain pour cogiter sur cet avant-projet de loi.
qui bon cette réflexion risque être reportée ! bien il s'agit d' 

"un texte qui fera l'objet d'amendements et qui nécessitera  le 4/5e 

des votes pour être adopté" c'est bien cela monsieur le président !

hélas ce discours ne concerne que vous et moi,

mais pour  votre peuple, c'est de l'eau bénit que nous offrons dans un panier

transporté par un macho un peu borgne et qui est amnésique, 

j'ai bien peur que tout ce que veut votre peuple
"c'est votre départ du pouvoir" Une alternance politique et rien d'autre.

L'histoire tourne bien son aiguille vers le drame comme celle qui a pointé

les violences du 19 aout dernier où le peuple réclamait
le retour à la constitution de 1992 qui limite 
à deux ans le nombre de mandats présidentiels et le vote de la diaspora.

Et comme un peu partout en Afrique , c'est sous l'effet de gaz lacrymogènes

des forces de l’ordre que le pays  retrouvera son calme
avec quelques morts à oublier.

Entre la Chèvre et le Revolver.

la fable du jour est celle-ci ,
celle qui se conte entre ceux qui nous racontent les violences de kumbo
et ceux qui les vivent au quotidien en zone anglophone au Cameroun,
l'on raconte que des hommes en tenues ont "volés des chèvres"
dans le petit village Kifem ,village situé dans la localité de Kumbo,
une localité du département de Bui,

l'on raconte aussi que les populations de kumbo comme des
fauves sauvages ont attaqué les supposés "voleurs de chèvres"
C'est dont un 4 septembre,  jour de rentrée scolaire
en colère au Cameroun anglophone,
l'on raconte aussi que la fable est mal contée , qu'en effet
les gendarmes menaient une opération de lutte contre les stupéfiants
et auraient été attaqués  par une population munie d'armes artisanales 
cette descente d'hommes en tenue à Kifem, a déclenché 
un affrontement armé entre les populations et les gendarmes.
bilan un mort côté civil et un gendarme grièvement blessé,
des établissements publics et scolaires incendiés.
le conteur souligne que "des tracts séditieux circulent
mettant en garde ceux qui enverront leurs enfants à l'école"

Et la fable ne cite pas seulement  le conte et les contés mais
présente au public un personnage haut gradé de yaoundé ,
c'est le ministre délégué à la présidence en charge de la défense
Beti Assomo. Dans son communiqué rendu le même journée
il fait savoir que les populations armées de fusils
de fabrication artisanale se sont opposés au bon déroulement
de la  mission des gendarmes, qui traqués la drogue,

et que par légitime défense les militaires ont réagi contre la population brute,
déjà ensorcelée par la crise anglophone dans le nord-ouest et le sud-ouest.
et qu'à titre conservatoire le commandant de compagnie du Bui a été suspendu.
Simon Mooh le préfet du département Bui a été "agressé et blessé"
raconte le conteur. La fable mention entre ses lignes que
le drapeau Ambazonia a été hissé dans le centre-ville"
téléchargement des conflits en cour... 

C'est au Kenya que sa commencé!!!!!!

Et c'est en chœur qu'ensemble nous allons reprendre les propos du juge David Maraga
« La grandeur d’une nation réside dans sa fidélité à la Constitution,
dans le strict respect de la loi, et surtout dans la crainte de Dieu »,
Alléluia!
Et c'est en chœur mes frères et sœurs qu'ensemble nous allons reprendre les propos
de Barack Obama, « Il nous faut des institutions fortes et non des hommes forts »

Et voilà pourquoi frères et sœurs en la démocratie !
Et voilà pourquoi frères et sœurs en confiance au peuple!
je vous invite à vous lever ce jour, oui! à vous levez ce 1er septembre 2017
pour saluer le pouvoir judiciaire du Kenya!
Pour saluer ses institutions fortes car, chers frères et sœurs en la démocratie
ce pays a fait preuve d’honnêteté en politique,
preuve que la loi est au dessus des hommes et les hommes lui doivent respect!
Preuve que c'est encore possible la démocratie en Afrique,
preuve qu'on peut contester une élection et avoir gain de cause!
Preuve aussi que l’Afrique anglophone ne badine pas avec sa loi
ceci en annulant simplement "l'élection présidentielle tenue le  8 août dernier.
Une élection remportée par le chef de l’État sortant Uhuru Kenyatta
avec 54,27 % des suffrages contre 44,74 % pour Raila Odinga."
Oui mes frères en la démocratie, levons nos mains vers la table de la justice
qui gouverne désormais car selon la cour suprême conduite par le juge David Maraga
"la Commission électorale de notre chère ami Wafula Chebutaki 
a échoué, négligé ou refusé de conduire les élections en accord avec la Constitution" 
alléluia! 

   
Et c'est en chœur qu'ensemble nous allons reprendre les propos  du juge David Maraga
« La grandeur d’une nation réside dans sa fidélité à la Constitution,
dans le strict respect de la loi, et surtout dans la crainte de Dieu »,
Et c'est en chœur mes frères qu'ensemble nous allons reprendre les propos
de Barack Obama « Il nous faut des institutions fortes et non des hommes forts »
Oui mes frères! 
j'entends depuis cet autel "la foule en délire dansait et chantait « Tibim »,
« révolution », le mot d’ordre de l’opposition  Dans les rues de Kibera"
j'entends depuis cet autel à l’autre rive de cette cité nouvelle
où règne la démocratie:
La présidente de l’opposition au Congo-Brazzaville, Claudine Munari,
Maître George Kapiamba,le président de l’Association congolaise
d’accès à la justice en RDC
l'opposant gabonais Jean Ping du Gabon en quête de vérité politique contre Bongo,
Charles Nditije,du Burundi, président du Cnared,
et le Guinéen Celou Dalein Diallo  président de l’UFDG
et oui je vous le dis,

je les entends dire que le reste de l’Afrique s'inclinera auprès du Kenya!
alléluia!
Souvenez vous frères et sœurs en la démocratie que les résultats
ont été annoncés le 11 août et que la coalition de l'opposition avait
déposé un recours devant la Cour suprême le 18 août dernier et de même
souvenez vous qu'en 2013 la même Cour suprême avait rejeté le recours
auparavant présenté par Raila Odinga contre l’élection d’Uhuru Kenyatta.
Nous sommes là mes frères face à l'histoire et désormais
l'histoire retiendra que c'est au Kenya que sa comment sa,
la vraie Démocratie! 

Les Libérateurs Liberés.

Le peuple , mon peuple , celui de ma patrie , celui que je salue
libres sont ceux que je côtoie et que je désire pour leur combat
libres sont ceux qui vous ressemblent,qui se font martyres pour nous autres.
Libre est l'homme qui décide de ta liberté
toi homme fait prisonnier pour nous
libre est mon peuple celui du nord ouest et celui du sud ouest Cameroon
libre tu es parce que de plus grands que toi il n’y en a point...
C'est alors qu'à l’écoute de ces vers qui comme des verres de partage
qui se brisent sur le sol endurci par nos résistances et nos gouvernances,
un homme se prononça  le président  Paul Biya ce mercredi 30 août,
Il ordonne ta liberté et  l’arrêt des poursuites judiciaires contre toi.
Alors vous êtes libres,

  
toi  Félix Agbor Nkongho  , toi Neba Fontem Aforteka’a
tous , leaders du Cameroon Anglophone Civil Society Consortium 
et toi Paul Ayah Abine ancien magistrat à la Cour suprême
et à  votre suite, une trentaine suivra et qui sait tous les prisonniers
anglophones avec.
Des prisonniers  de cette crise anglophone déclenchés par
la gréve des enseignants et des avocats anglophones,
des prisonniers d'un autre genre qui désirent peut être l'Ambazonia
des prisonniers qui parlent aussi français et qui se sentent marginalisés
ces prisonniers  qui dans toutes leurs  logiques sont accusés d'hostilité
contre la patrie, de  rébellion et coactions d’actes terroristes contre le pays.
Vous dit on, alimentez les violences qui ont secoué en décembre 2016
le nord ouest et sud ouest Cameroon ,
je vous tire mon chapeau  et que sur les rues de Bamenda et de Buea,
les ombres s’éclaircissent et laissent paraitre la défense pour un idéal commun
et cette fois pour un peuple unis.

Pour ces frères qui réclament le fédéralisme voir l’indépendance,
j'ai cru entendre qu'il s'agit de l'avocat Agbor Balla et
l'universitaire Fontem Neba accusés de terrorisme et incitation
à la sécession, voici que vous êtes libres!
comme Jonas hors de la bouche du grand poisson
comme Joseph libre et fait maitre en Égypte
maintenant que vous êtes libres ,
laissons libre l’éducation à  nos enfants pour ce 4 septembre 2017,
me lança Ferdinand Ngoh Ngoh, secrétaire général de la présidence
au moment où il me tendis le décret présidentiel
 pour un communiqué radio et télé et internet.