Nouradine Delwa kassiré , l'homme dans sa veste noire recouvrant une chemise de prêtre à col rond de couleur jaune entendait la foule l'acclamer,
alors il poussa encore plus loin sa réflexion comme celle de Idriss Deby et s'écria " notre but c'est ça de trouver de nouvelles institutions aux besoins différents de celles que nous vivons pour ouvrir un Tchad futur ... Un Tchad authentiquement nouveau "
et une fois de plus la foule l'acclama car le président de présidium de forum national inclusif avait parlé sa part.
Tout comme le parti Al-Nar qui avait démenti fermement, qu'il n'a pas assisté ni envoyé un représentant au forum après la déclaration peu amicale de dame Mariam Mahamat Nour vice présidente du présidium.
Et Comme des épouses éprises du même foyer , il vaut mieux tuer l'epoux que de le partager :
une intention que l'on ne craint pas chez l'opposition " le parti Al-Nar respecte toujours là décision du groupement fonac ( de refuser à la participation au forum).
Du 19 au 27 mars donc , les cris se feront entendre,
soit pour la réforme institutionnelle soit contre celle ci.
Mais bon la politique c'est Idriss Deby Itno qui la définit au Tchad.
Le voici dans son boubou blanc et tenant fièrement son bâton noir , il penétre dans la salle ainsi qu'un prince, et de sa main droite adresse une salutation à la foule émerveillée :
tenez il est là le Messi qui sauvera le Tchad de sa misère : peut on encore entendre au son des voix neutraliseés.
Le forum démarre et toutes les forces vivent de la nation s'y retrouvent mais pas toutes qu'à même.
L'arabe et le francais sont les langues au rendez-vous : il faut que chacun et chacune se comprennent bien : même si ceci n'est pas un dialogue national inclusif voulu par l'opposition .
Il y'a donc eu beaucoup de commentaires et Deby Président de la République s'invita sur le podium :
silence car il toussa avant de sortir la langue au palais du 15 janvier où s'ouvre ce 19 mars le grand rassemblement des fils et filles du pays.
Alors Itno remercia ceux et celle qui ont refusé démocratiquement de participer à ce rendez-vous et la nouvelle se glissa entre des jambes comme un désir savoureux.
La foule est fière et Itno aussi "il est temps d'ouvrir un vaste chantier de modernisation de nos institutions enfin de renforcer la stabilité de notre pays"
Et la voici cette réforme institutionnelle pour réduire le train de vie de l'État et survivre puisqu'il le faut :
l'on a supprimè le poste de premièr ministre( que personne ne pleure ), pas de vice président non plus ( c'est pas gênant ) seul un régime présidentiel intégrale est admis pour la 4e république à venir et où le président sera élu pour un mandat de six ans renouvelable une seule fois à partir de 2021.
Le conseil constitutionnel, la haute cour de justice et la cour des comptes sont désormais des simples sièges au sein du pouvoir législatif:
"Monarchie" hurle froidement Ali Golhor ancien député et porte parole des partis politiques pour la défense de la constitution qui malheureusement sera modifiée par Deby.
Ce blog est un ensemble de poèmes écrits en vers ou en prose sur l'actualité en temps réel au Cameroun et dans le monde. Il s'agit de LA POÉSIE JOURNALISTIQUE, les poèmes ici retracent de manière chronologique les faits qui ont marqué le quotidien des populations au jour le jour. il est question d'informer sous forme POETIQUE .
mercredi 28 mars 2018
dimanche 25 mars 2018
où va le blogging au Cameroun ?
Autrement dit je ne suis aucunement de cet avis qui faire dire aux uns et aux autres que le blogging est une affaire personnelle, d'un point de vue personnel pour un objectif personnel.
La montée volcanique des réseaux sociaux inverse la donne et par conséquent expose le blogueur à un champs plus vaste d'idées. L'autarcie de la pensée en la matière devient critique ( le blogueur peut être poursuivi pour fausses informations)
ainsi on n'écrit plus pour soi mais pour autrui.
Ce carnet cyber apparut pour la première fois dans les années 90 au Canada n'est plus aujourd'hui un journal intime mais une raison propre pour chaque internaute de contribuer dans l'espace public en fonction de ses affections avec x ou y sujet.
Au Cameroun ( n'ayant pas fouiller plus loin) nous estimons que le blogging est arrivé trop tard chez nous , sans doute l'accès à Internet n'étant pas encore aussi démocratisé que maintenant.
Néanmoins l'ampleur du bloggin au 237 s'impose avec l'arrivée de la musique urbaine et une connexion plus ou moins stable au Cameroun(3G). Nous sommes dans les années 2015. où la ferveur de la critique musicale prends son vol et intéresse un public majoritaire.
Trois ans plus tard les blogs les plus lus sont ceux traitant de la culture, des tic , du marketing ou du développement personnel
Simplement parceque sur les réseaux sociaux dans notre bled , se sont les jeunes qui y sont à majorité et chômeurs pour la plupart , ainsi ils sont en quête de loisirs et de divertissement de tout ordre.
Quelques jeunes entrepreneurs y sont aussi et sont en quête de performance et d'adaptation aux NTIC.
La notion de développement personnel ( vidéo surtout ) engage des lecteurs très ambitieux .
Ils existent certains blogs qui n'ont rien avoir avec la culture et les NTIC qui sont très suivis soit parceque ceux qui les ont en ligne sont connus soit parcequ' ils ont été persévérants.
Voyant cette jeunesse attireé par des blogs de musique , de faits divers et NTIC les entreprises ont aussitôt fait de prendre en compte les blogueurs dans leur plan de campagne publicitaire.
Ainsi le blogueur n'est pas sollicité pour ces articles mais pour son nombre élevé de lecteurs ceci contrairement aux médias traditionnels où l'entreprise est d'abord très rigoureuse sur le traitement de l'information que sur le public visé.
Désormais le blogueur est un acteur de la société, capable d'influencer, de manipuler, de rassembler et de provoquer un changement de mentalité quand bien même le billet trouverai sa genèse dans une chambre au village sans eau ni électricité. Son effet sur Internet peut être dévastateur.
L'info-bèsitè n'est pas une conséquence du blogging mais un fleuve qui se jette au quotidien dans la mer.
Chaque jour des jeunes, écrivent et postent sur Internet à travers un blog ou simplement à travers un compte Internet( Facebook Twitter Instagram etc.)
à partir de ce moment le blogueur doit être responsable de ses écrits et toujours rejoindre le journaliste dans la vérification de l'information avant toute publication.
(le factchecking)
Un blog en 2018 au Cameroun n'est pas un journal intime mais une arène où s'affronte la société et les libres penseurs.
NB. Ce billet n'est pas un travail de recherche approfondi. Il est question de pousser les uns et les autres à la réflexion.
Chaque jour des blogs naissent et le désir de bloguer grandi ! Un secteur pour l'instant non encadré.
L'ABC( association des blogueurs du Cameroun) 1ere association du genre au Cameroun, tarde à poser des bases tangibles. Pourtant peu mieux faire !
La montée volcanique des réseaux sociaux inverse la donne et par conséquent expose le blogueur à un champs plus vaste d'idées. L'autarcie de la pensée en la matière devient critique ( le blogueur peut être poursuivi pour fausses informations)
ainsi on n'écrit plus pour soi mais pour autrui.
Ce carnet cyber apparut pour la première fois dans les années 90 au Canada n'est plus aujourd'hui un journal intime mais une raison propre pour chaque internaute de contribuer dans l'espace public en fonction de ses affections avec x ou y sujet.
Au Cameroun ( n'ayant pas fouiller plus loin) nous estimons que le blogging est arrivé trop tard chez nous , sans doute l'accès à Internet n'étant pas encore aussi démocratisé que maintenant.
Néanmoins l'ampleur du bloggin au 237 s'impose avec l'arrivée de la musique urbaine et une connexion plus ou moins stable au Cameroun(3G). Nous sommes dans les années 2015. où la ferveur de la critique musicale prends son vol et intéresse un public majoritaire.
Trois ans plus tard les blogs les plus lus sont ceux traitant de la culture, des tic , du marketing ou du développement personnel
Simplement parceque sur les réseaux sociaux dans notre bled , se sont les jeunes qui y sont à majorité et chômeurs pour la plupart , ainsi ils sont en quête de loisirs et de divertissement de tout ordre.
Quelques jeunes entrepreneurs y sont aussi et sont en quête de performance et d'adaptation aux NTIC.
La notion de développement personnel ( vidéo surtout ) engage des lecteurs très ambitieux .
Ils existent certains blogs qui n'ont rien avoir avec la culture et les NTIC qui sont très suivis soit parceque ceux qui les ont en ligne sont connus soit parcequ' ils ont été persévérants.
Voyant cette jeunesse attireé par des blogs de musique , de faits divers et NTIC les entreprises ont aussitôt fait de prendre en compte les blogueurs dans leur plan de campagne publicitaire.
Ainsi le blogueur n'est pas sollicité pour ces articles mais pour son nombre élevé de lecteurs ceci contrairement aux médias traditionnels où l'entreprise est d'abord très rigoureuse sur le traitement de l'information que sur le public visé.
Désormais le blogueur est un acteur de la société, capable d'influencer, de manipuler, de rassembler et de provoquer un changement de mentalité quand bien même le billet trouverai sa genèse dans une chambre au village sans eau ni électricité. Son effet sur Internet peut être dévastateur.
L'info-bèsitè n'est pas une conséquence du blogging mais un fleuve qui se jette au quotidien dans la mer.
Chaque jour des jeunes, écrivent et postent sur Internet à travers un blog ou simplement à travers un compte Internet( Facebook Twitter Instagram etc.)
à partir de ce moment le blogueur doit être responsable de ses écrits et toujours rejoindre le journaliste dans la vérification de l'information avant toute publication.
(le factchecking)
Un blog en 2018 au Cameroun n'est pas un journal intime mais une arène où s'affronte la société et les libres penseurs.
NB. Ce billet n'est pas un travail de recherche approfondi. Il est question de pousser les uns et les autres à la réflexion.
Chaque jour des blogs naissent et le désir de bloguer grandi ! Un secteur pour l'instant non encadré.
L'ABC( association des blogueurs du Cameroun) 1ere association du genre au Cameroun, tarde à poser des bases tangibles. Pourtant peu mieux faire !
mardi 20 mars 2018
SARKOZY FACE AU FANTOME DE MOUAMMAR
Les réseaux sociaux comme toujours s'agitent avec raison mais passion à l'appui ,
mais qui donc fait vibrer la toile et fait jouir les idées de tous ces hommes africains?
Je me souviens à l'instant d'une complicité très démaquillée entre
Sarkozy et kadhafi , et aussitôt après la mort du dernier le 20 octobre 2011
la haine africaine a aussitôt fait de prendre Sarkozy pour responsable,
malheureux ! voleur! a ton crié partout dans le contient .
Traitre de Sarkozy comment as tu pu? alors que ta campagne aurait
été financée par le dictateur libyen. Dénonciateur de l'occident et réputés
pour nuire aux biens de la France en Afrique,vous qui aimaient Kadhafi
,
et à tous ceux qui ont encouragé Sarkozy et qui règnent sans partage sur
le continent noire , la justice de Nanterre en France se veut attentive sur
l'affaire Nicolas Sarkozy ; après 48 heures de mis en garde des ce jour ,
qu'adviendra t’il à ce dernier . "Onze années se sont écoulées depuis
la campagne présidentielle victorieuse de Sarkozy et cinq ans
depuis l'ouverture de l'enquête" ce mardi 20 mars 2018. Dans les médias
comme sur la toile, les dires et non dires embellissent ou enlaidissent la situation.
Nicolas Sarkozy est bousculé et piétiné au moment où l'on l'oppose
Bechir Saleh, l’ancien grand argentier de Kadhafi qui avait confié au journal
le Monde : « Kadhafi a dit qu’il avait financé Sarkozy. Sarkozy a dit qu’il
n’avait pas été financé. Je crois davantage Kadhafi que Sarkozy. »
Et que crois la justice française? et que crois l’Afrique sensationnelle ?
à ce moment où Nicolas Sarkozy , ancien président de la république
française est entendu depuis ce matin par la police judiciaire Nanterre
pour abus de confiance et détournement de fonds public,
Il a été placé en garde à vue dans l'enquête sur des soupçons d'un financement
illicite provenant de la Libye ainsi interrogé par les agents de l'Office central
de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
Qui questionnent techniquement un «accord de principe» avec la Libye
pour le versement d'une somme de 50 millions d'euros pour le financement
de la campagne de Nicolas Sarkozy dans le cadre de la présidentielle de 2007.
Mais en ceci, nous ne voyons pas toujours une victoire pour l’Afrique.
mais qui donc fait vibrer la toile et fait jouir les idées de tous ces hommes africains?
Je me souviens à l'instant d'une complicité très démaquillée entre
Sarkozy et kadhafi , et aussitôt après la mort du dernier le 20 octobre 2011
la haine africaine a aussitôt fait de prendre Sarkozy pour responsable,
malheureux ! voleur! a ton crié partout dans le contient .
Traitre de Sarkozy comment as tu pu? alors que ta campagne aurait
été financée par le dictateur libyen. Dénonciateur de l'occident et réputés
pour nuire aux biens de la France en Afrique,vous qui aimaient Kadhafi
,
et à tous ceux qui ont encouragé Sarkozy et qui règnent sans partage sur
le continent noire , la justice de Nanterre en France se veut attentive sur
l'affaire Nicolas Sarkozy ; après 48 heures de mis en garde des ce jour ,
qu'adviendra t’il à ce dernier . "Onze années se sont écoulées depuis
la campagne présidentielle victorieuse de Sarkozy et cinq ans
depuis l'ouverture de l'enquête" ce mardi 20 mars 2018. Dans les médias
comme sur la toile, les dires et non dires embellissent ou enlaidissent la situation.
Nicolas Sarkozy est bousculé et piétiné au moment où l'on l'oppose
Bechir Saleh, l’ancien grand argentier de Kadhafi qui avait confié au journal
le Monde : « Kadhafi a dit qu’il avait financé Sarkozy. Sarkozy a dit qu’il
n’avait pas été financé. Je crois davantage Kadhafi que Sarkozy. »
Et que crois la justice française? et que crois l’Afrique sensationnelle ?
à ce moment où Nicolas Sarkozy , ancien président de la république
française est entendu depuis ce matin par la police judiciaire Nanterre
pour abus de confiance et détournement de fonds public,
Il a été placé en garde à vue dans l'enquête sur des soupçons d'un financement
illicite provenant de la Libye ainsi interrogé par les agents de l'Office central
de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
Qui questionnent techniquement un «accord de principe» avec la Libye
pour le versement d'une somme de 50 millions d'euros pour le financement
de la campagne de Nicolas Sarkozy dans le cadre de la présidentielle de 2007.
Mais en ceci, nous ne voyons pas toujours une victoire pour l’Afrique.
jeudi 15 mars 2018
IL Y'A MEME QUOI LABAS?
Le 15 mars 2018 nous comptions encore le temps de vie du prince sur le trône qui nous appartient.
Tous, nous comptions désespérés pour les uns et optimistes malgré soi pour les autres.
C'est alors que la nouvelle nous parviens sans tarder et que dit elle cette enveloppe trop serrée aux allures gouvernementales.
Elle annonce la séance du communiquè présidentiel au palais d'Etoudi: Paul BIYA préside le conseil de ministre ce jeudi 15 mars quelques temps après le réaménagement du gouvernement de Philémon Yang le 2 mars dernier,
C'est alors qu'avant de prendre l'allée vers ma chambre pour sortir ce beau costume de parade devant les médias assoiffés de scandale car trop affamés ,
j’esquisse un sourire ironique en disant mieux vaut tard que jamais puisque le dernier conseil de ministre s'est tenu le 15 octobre 2015 peu de temps après le réaménagement du gouvernement du 2 octobre 2015.
Nous y sommes à présent, le prince entre et s’assoit. Pour certains c'est une première de siéger avec le prince qu'il ne verront qu rarement, j'en appelle sans plus tarder les ministres :
Joseph Le, Gaston Eloundou Essomba, Elanga Obam George, Paul Tasong et Nalova Lyonga.
Soyons tranquille ceci n'est pas un exercice, vu que ce conseil de ministre porte uniquement sur une communication spéciale du président de la république, je voyais déjà qui tremblaient comme si l'on leur demandera faites moi un bilan de votre fonction en tant que Ministre, que non !
Le prince est subtile, il n'est nul question d'un débat sur les affaires publiques, alors voici ce communiqué spécial
" Je vous exhorte à vous mettre au travail avec ardeur, afin que nous puissions, ensemble, relever les nombreux défis auxquels notre pays doit faire face. Notre peuple n’en attend pas moins de nous." et des têtes se sont mises à se balancer de l'avant vers l'arrière comme pour dire oui mon prince nous sommes d'accord poursuivez !
"Les services de proximité à la population : eau, électricité, santé, infrastructures routières, doivent continuer à bénéficier de l’attention particulière du Gouvernement".
Applaudissements donc les nouveaux et pas si forts , mesdames et messieurs: un conseil de ministre est un espace où chaque ministre reçoit des conseils du président de la république , pas besoin de lui dire merci ceci fait partir de vos devoirs.
J'entends la presse piaffer comme elle s'est le faire si le perdiem est réduit , elle piaffe et gaffe à la une de sa page spéciale : "PAUL BIYA fait semblant de demander des comptes à ses ministres"
Mais le prince est habile il ne marmonne point et avance à son rythme
" Nos populations, à travers le pays, n’ont cessé d’exprimer leur volonté d’être associées plus étroitement à la gestion des problèmes qui influencent directement leur quotidien. La création du Ministère de la Décentralisation et du Développement Local s’inscrit dans l’optique d’apporter une réponse rapide à ces demandes récurrentes. J’en attends, à brève échéance, des propositions détaillées et un chronogramme relatifs à l’accélération du processus de décentralisation en cours."
Tous, nous comptions désespérés pour les uns et optimistes malgré soi pour les autres.
C'est alors que la nouvelle nous parviens sans tarder et que dit elle cette enveloppe trop serrée aux allures gouvernementales.
Elle annonce la séance du communiquè présidentiel au palais d'Etoudi: Paul BIYA préside le conseil de ministre ce jeudi 15 mars quelques temps après le réaménagement du gouvernement de Philémon Yang le 2 mars dernier,
C'est alors qu'avant de prendre l'allée vers ma chambre pour sortir ce beau costume de parade devant les médias assoiffés de scandale car trop affamés ,
j’esquisse un sourire ironique en disant mieux vaut tard que jamais puisque le dernier conseil de ministre s'est tenu le 15 octobre 2015 peu de temps après le réaménagement du gouvernement du 2 octobre 2015.
Nous y sommes à présent, le prince entre et s’assoit. Pour certains c'est une première de siéger avec le prince qu'il ne verront qu rarement, j'en appelle sans plus tarder les ministres :
Joseph Le, Gaston Eloundou Essomba, Elanga Obam George, Paul Tasong et Nalova Lyonga.
Soyons tranquille ceci n'est pas un exercice, vu que ce conseil de ministre porte uniquement sur une communication spéciale du président de la république, je voyais déjà qui tremblaient comme si l'on leur demandera faites moi un bilan de votre fonction en tant que Ministre, que non !
Le prince est subtile, il n'est nul question d'un débat sur les affaires publiques, alors voici ce communiqué spécial
" Je vous exhorte à vous mettre au travail avec ardeur, afin que nous puissions, ensemble, relever les nombreux défis auxquels notre pays doit faire face. Notre peuple n’en attend pas moins de nous." et des têtes se sont mises à se balancer de l'avant vers l'arrière comme pour dire oui mon prince nous sommes d'accord poursuivez !
"Les services de proximité à la population : eau, électricité, santé, infrastructures routières, doivent continuer à bénéficier de l’attention particulière du Gouvernement".
Applaudissements donc les nouveaux et pas si forts , mesdames et messieurs: un conseil de ministre est un espace où chaque ministre reçoit des conseils du président de la république , pas besoin de lui dire merci ceci fait partir de vos devoirs.
J'entends la presse piaffer comme elle s'est le faire si le perdiem est réduit , elle piaffe et gaffe à la une de sa page spéciale : "PAUL BIYA fait semblant de demander des comptes à ses ministres"
Mais le prince est habile il ne marmonne point et avance à son rythme
" Nos populations, à travers le pays, n’ont cessé d’exprimer leur volonté d’être associées plus étroitement à la gestion des problèmes qui influencent directement leur quotidien. La création du Ministère de la Décentralisation et du Développement Local s’inscrit dans l’optique d’apporter une réponse rapide à ces demandes récurrentes. J’en attends, à brève échéance, des propositions détaillées et un chronogramme relatifs à l’accélération du processus de décentralisation en cours."
Inscription à :
Articles (Atom)