samedi 6 janvier 2018

32G au pied de ma croix !

32G auraient valus plus de 500G ,
si mon pays avait assez d'humanité pour elle même,
32G auraient été égals à 500G,
si le Cameroun avait assez d'amour pour lui même.
Ces 500 milles ordinateurs d'un régime froidement assassiné sur Internet, restent un don présidentiel qui par un slogan  de valorisation mal réajusté,  par le professeur ATSA Etoundi est un outil de travail tout simplement:
 "32G de la nouvelle technologie est égal à 500G de l'ancienne technologie"
Mensonge ! crie  la bête sur internet
Mensonge ! hurlent les prédateurs habitants sur  Facebook
Mensonge !  S'auto- foudroient les experts en informatique  résidant sans papiers  sur Instagram et  wahtsapp.
Comme si la honte qu'ils veulent déverser leur sera épargné.
 Mensonge je dis !  Allez laver l'image de votre nation que jour après jour vous saliser sur Internet !
Ne dit on pas que le linge sale se lave en famille !?
La colère est justifiée mais l'endroit n'est pas indiqué !
Ces PBhev  désormais ombre d’eux même entre les mains de la frustration restent, aux yeux de ma galère,  la volonté d'un d'État sous perfusion qui essaye en salle de réanimation de se faire pardonner !
malgré la bêtise orchestrée depuis que WhatsApp  se mange comme des bouts de pain au Cameroun .
La  jeunesse androïde, celle qui se refuge sur les réseaux sociaux,  celle là qui campe aux portes du virtuel dans l'attente d'un faux pas , s' auto-flagelle car trop bavarde sur les réseaux sociaux pour recycler la bêtise gouvernementale en un incroyable talent.
Mais  sa crie et sa pleurniche pour des vues , des likes et des partages .
 Quel scandale !
Pour ces milliards de nos francs envolés et  qui ne sont nullement perdus,
Ce premier lot de 40.000 ordinateurs portables arrivé de Chine vendredi 23 décembre 2017,
 n'ira pas que chez ces jeunes compositeurs du "32g=500g" vite portés en triomphe sur YouTube,
 ces ordinateurs n'iront  pas seulement chez des mains étrangleuses et de nationalité Snapchat.
 Ils iront aussi chez des fils de pauvres de mon village à l'ouest du pays , chez les fils démunis de vos régions nord ouest , sud ouest et Est du Cameroun , ils iront chez
 les enfants cloués  au mirage  de toutes technologies dans le centre ,le littoral et au nord.
Ces étudiants qui peinent  à photocopier un cours , ceux là qui ont du mal à accéder à un cybercafé  et qu'un smartphone n'est point donné ,
ceux qui n'osent se payer un ordinateur , trouveront en ces PBhev  une terre fertile à bêcher.
32cris d' étudiants détracteurs sont égals à 500 mutins dans les réseaux sociaux qui se camouflent en héros.
Des têtes tomberont mais les votre aussi !
"C’est la dernière technologie en termes de capacité mémoire SSD.
On ne peut pas trouver mieux ailleurs dans le monde" Jacques Fame Ndongo
ministre de l'enseignement supérieur ,
en le disant ainsi sur le poste national à 13h n’échappe point  au lynchage des démons de midi ,
une damnation cruciale qui le traina droit sur l'autel  de la psaudo humiliation à Etoundi lors des vœux au président Paul Biya ce 4 décembre 2018.
"le créateur humilie la créature " traduisent  les pyromanes auteurs de fake news.
C'est le Cameroun qui est humilié sur Facebook  et Marc Zuckeber s'enrichi encore et encore.
Cette jeunesse citoyenne des réseaux sociaux portera,  la marque de sa ruine même après ce régime Biya.
Le 10fevrier 2016 l'on avait annoncé  le projet un "étudiant un ordinateur" question de se conformer à la mauvaise forme de la tendance et si au 31 décembre 2017 par mesure de prudence face à la menace des réseaux sociaux ,  on n'ose point en parler dans un  traditionnel discours c'est dire qu'on a retrouvé la raison et qu'il faut revenir à la forme naturelle : Gouverner et imposer, et les meilleurs feront le tri .
Les Campagnes de grande gueule sur internet ont toujours du mal à trouver des adhérents réels sur  terre ferme .
Il faut agir et ce, sur terre.
Comme ce 3 janvier 2018 où lors de ses vœux à la presse, Emmanuel Macron a annoncé  sa volonté de voir adopter une loi pour lutter contre les "fake news"
À toi d’espérer que le cour d'eau ira vers les terres camerounaises.




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