les crimes continueront à monter au Yémen et en Syrie
et le coup de gueule entre la Corée du Nord et les États Unis
de s’accentuer.
Triste gronde mon auditoire qui parcoure la presse et tan-pis
se dit il , même si j’y pense cela ne vaut rien quant bien même
il le faut. le Statut de Rome, qui a donné naissance à la CPI
en 2002, nous fera t’il espérer ou abandonner?
C'est ainsi que nous allons tous apprendre à l'instant
qu' à New York, l'assemblée générale de la CPI vient
d'activer un quatrième chef d'inculpation,envisagé depuis
plusieurs années.
Après les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre,
et les génocides, elle vient de considérer le « crime d'agression »
qu'elle jugera désormais. Dansons si nous voulons
mais très vite réalisons la bouffonnerie . Jean-Louis Gilissen avocat
et vieil ami me fait savoir à ce sujet que
"cela peut concerner non seulement des États membres de la CPI,
mais aussi les militaires d’un État non membre de la CPI,
mais qui agiraient dans le cadre d’une invasion sur le territoire
d’un État membre de la CPI. Donc ceux qui ne signent pas
, ceux qui n’acceptent pas l’activation pour eux ou pour leurs ressortissants
de ce crime pourraient quand même un jour le voir appliquer
à leurs forces armées"Petite croisade dans l'histoire,
Depuis le début de l’année 2017, et l’arrivée de Donald Trump
à la Maison Blanche, la crise couve et croît en Asie orientale,
faisant craindre le retour d’un conflit dans la péninsule,
soixante-quatre ans après la fin de la guerre de Corée nous informe
le Journal Libération du 9 aout 2017 et le journal le MONDE avait
mentionné le 04.09.2017 "On pensait la tension à son maximum,
elle est encore montée d’un cran dans la soirée du dimanche 3septembre.
Quelques heures après l’annonce d’un sixième essai nucléaire par
la Corée du Nord, la Maison Blanche a fait savoir que les États-Unis
étaient prêts à utiliser leurs capacités nucléaires au cas où Pyongyang
continuerait à les menacer ou à menacer leurs alliés"
sur les cinq membres permanents du Conseil de sécurité,
"trois
ne font pas parties à la Cour pénale internationale :
la Russie, la
Chine et les États-Unis". La Cour pénale
internationale n’exercera donc aucune juridiction
sur les États unis en matière de crime d'agression au regard
même de son droit de veto.
Quant à la Corée du nord depuis mardi 18 novembre 2014
les Nations unies ont fait un premier pas vers la poursuite de celui ci
devant la CPI pour crimes contre l'humanité provoquant même la colère
de Pyongyang. mais niette!
Tan-pis donc pour la CPI qui ne saura exactement sur quel
coin de la table frapper son marteau de justice.
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