Sans bousculade, sans trop de bagages mais avec
un peu de politesse.
Allons chez nos oncles et tantes à l'autre rive du village,
que celles qui sont enceintes ne portent que leurs bébés
que celui qui est au chômage ne porte que ses projets
et aux intellectuels uniquement votre savoir faire,
pour le reste ramenez obligatoirement votre savoir être.
Car voyez vous l'accord sur la libre circulation de 2013
en zone CEMAC prend effet,
effet de fête et de faits ,
le Gabon , ce 19 octobre 2017 ne soumet plus les familles
de la zone CEMAC à l’obligation du
visa pour entrer sur son territoire.
C'est là un vent qui se repend simplement, il a soufflé en RCA
le 13 octobre 2017 et puis au Tchad le 08 août 2017.
Courrez mes amis vers ces terres qui nous accueillent
bras ouverts comme la Guinée Équatoriale qui a validé
ce 17 octobre 2017 la suppression des visas pour les familles
de la Communauté économique et monétaire d'Afrique
centrale,
voici que la fête sera belle ce 30 octobre 2017 à Djamena
où se regroupera les pays de la CEMAC.
Cette volonté est tout aussi conditionnée, car mes chers amis
il faut être détenteur d’un passeport ordinaire
biométrique,
d’un passeport diplomatique ou de service,que le séjour ne doit pas
dépasser trois mois. Un peu d'histoire en trois date
"dès 2005 par l’acte additionnel du 25 juin 2005 que
la
libre circulation des personnes au sein de la CEMAC
a été préconisée.
C’est seulement le 25 juin 2013 que la conférence
des Chefs d’état de la CEMAC a décidé de la suppression
des visas pour tous
les membres de l’organisation"
et malgré les dispositions de l’article 1er de l’acte additionnel
n°01/13 de la CEMAC qui fixait au 1er janvier 2014 la prise d’effet
de la libre circulation des personnes,
c’est donc en 2015 que cette décision prends effet.
Le Cameroun pratique déjà et depuis cette libre circulation
avec "les hommes et femmes des pays comme le Tchad, la République
centrafricaine et le Congo, mais c’était juste
par simple
principe de réciprocité entre le Cameroun et lesdits États".
C'est d'ailleurs le seul pays de la sous région qui n’a pas encore
validé cette recommandation prise lors de la 12è conférence
des Chefs d’Etat de la CEMAC.
Nous qui allons et nous qui venons, encore une minute d'histoire,
sur la question à travers cet article de SERGE LOUNGOU
intitulé LA LIBRE CIRCULATION DES PERSONNES AU
SEIN DE L'ESPACE DE LA CEMAC: entre mythes et réalités.
allez lire...
Ce blog est un ensemble de poèmes écrits en vers ou en prose sur l'actualité en temps réel au Cameroun et dans le monde. Il s'agit de LA POÉSIE JOURNALISTIQUE, les poèmes ici retracent de manière chronologique les faits qui ont marqué le quotidien des populations au jour le jour. il est question d'informer sous forme POETIQUE .
lundi 30 octobre 2017
mardi 24 octobre 2017
Le Train de la Naissance...152
L'anniversaire de ma mort se fait sans cadeaux et
pas de musiques pour les invités.
Le silence de la cadence qui rythme la douleur de ceux qui me
pleurent,
Étouffe avec violence mon corps éparpillé et presque méconnu de mes
semblables.
Pourtant nous sommes frères, pourtant nous sommes sœurs
Et pourtant pas plus ou moins humains,
À cet instant encore où mon souvenir vient mourir dans le rituel des
anniversaires.
Pauvre est cette date de mort, ce
21octobre 2016 à ESEKA,
Pauvre l'instant qui sonne ce 21 octobre 2017 où l'on voudrait
Me ressusciter et où l'on voudrait faire semblant de ne point m'avoir déjà
oublié,
Pauvres ces souvenirs qui ne font que nous rappeler le malheur
De ce déraillement sauvage. Sauvages ces souvenirs qui ne font que nous
Rappeler la douleur de ces pauvres corps disparus du train 152.
Il est 13h30min sur le parcours de la mort inattendu
Douala-Yaoundé-Eseka,
Sur ce chemin de fer peu soupçonnable qui venait d'ouvrir son ravin
Comme une tombe commune et seulement quelques minutes après
Lorsque le trafic routier, la nationale 3 Yaoundé-Douala soit coupée
Au niveau de Manyai localité située dans la commune de Matomb.
Comme la rouille qui attaque aussi vite des bars de fers, des corps humains
Encore conscients se sont ameutés vers la gare ferroviaire de Yaoundé...
Puisque ceci n'est pas une bêtise d'ajouter huit wagons au train 152 !
Puisque ceci n’était pas une fausse idée de permettre
À chacun d'avoir une place dans le train pour Douala!
Puisque ceci ne devait qu’arrive au train 152,
Puisque c'est ainsi!
Le déraillement au niveau de la gare ferroviaire d’Eseka n’était pas
À remettre à demain et bang... Et voici que ce samedi 21 octobre 2017,
Le temps inter religieux suivi par un dépôt d’une gerbe de fleurs sur
Le site du drame est fait, c'est accessoirement, ce que communément
Les habitués des anniversaires appellent des vœux.
Les vœux sont alors: l’érection d’une stèle déjà annoncée
Le mardi 23 mai 2017 par le président Paul Biya.
Et cette fameuse somme d'1milliard de FCFA pour une assistance
Complémentaire des victimes et / ou de leurs ayants droit.
Ceci est comme un cadeau du ciel au désert et les listes des bénéficiaires,
Classifiées en trois catégories,
Elles ont été publiées ce lundi 23 octobre 2017 et
La remise des chèques commence le 1er novembre 2017 ainsi donc,
Que les voleurs de cadeaux se rangent car c'est en trois catégories
Que cela se fera
"D’abord les blessés ayant subi un préjudice corporel et pouvant
Justifier d’une incapacité temporelle totale d’au moins un jour,
À l’exclusion des personnes ayant subi un préjudice psychologique
Et /ou matériel ; la deuxième catégorie est constituée des ayants droit
Des personnes décédées et dans la troisième catégorie, se trouvent
À titre exceptionnel, les ayants droit des personnes disparues".
Voilà ainsi célébré notre anniversaire un jour de
notre mort
Un jour où l'on voudrait garder un souvenir mais le
quel justement ?
samedi 21 octobre 2017
Un VOyage inconfortable,destination...
Felix Agbor Bala est en colère , il se fâche, il hurle
et il se fait entendre par Philémon yang qui lui n'est ni triste
ni content mais qui écoute puisque l'on lui ordonne cela.
Philémon yang de la primature est un homme assez calme
qui sait obéir quant à Felix Agbor Bala, il est un homme agité
qui sait revendiquer,
il est d'ailleurs le président du consortium de la société civile
anglophone, organisation dissoute en janvier par le gouvernement
de Yang et là il n'est pas très content de voir venir à Bamenda
le Premier ministre dépêché par le kumkouma.
Et mieux encore que le palais d'Etoudi a indiqué dans un communiqué
que Paul Biya avait recommandé à ce dernier d’envoyer des
"délégations d’élites"anglophones dans leurs régions dès
dimanche 15 octobre afin de « dialoguer » avec les populations.
lundi 16 octobre 2017 Yang s'est alors rendu fièrement là-bas
un peu poltron sur les versants des abimes anglophones,
sur les versants des gouffres du nord ouest à Bamenda
où il a papoter avec des responsables des syndicats de transporteurs,
d'enseignants ,d’opérateurs économiques,
de vendeuses et vendeurs et peut être même de sorcières têtus,
Philémon yang a rencontré aussi des banquiers ,
et comme la guerre c'est comme à la guerre,
Felix Agbor Bala sur sa page Facebook écrira:
"Nous condamnons fermement, rejetons et nous
nous dissocions de ces visites"
mais pour la primature de Yang , il est question de mener
des consultations dans le cadre d'un processus de dialogue
avec les populations des zones anglophones du pays.
Instruction de Paul Biya encore en SUISSE.
Dans la dispute humoristique qui s 'y trouve,
il y'a l’espace territoriale qu'occupent les protagonistes ,
l'un est sur le terrain , cet espace réel qu'est Bamenda et
l'autre sur la toile, cet espace virtuel qu’est Facebook ,
aussitôt disons le à nous même et aux uns aux autres,
qu'au moment où sur internet Félix pose comme
préalable à toute "concertation" la libération de tous
les manifestants interpellés, un rapport sur le nombre de morts enregistrés
dans les régions anglophones et la convocation d'une table ronde
"en présence" des Nations unies.
Sur l'espace terrestre et nationale la fracture numérique est énorme.
et il se fait entendre par Philémon yang qui lui n'est ni triste
ni content mais qui écoute puisque l'on lui ordonne cela.
Philémon yang de la primature est un homme assez calme
qui sait obéir quant à Felix Agbor Bala, il est un homme agité
qui sait revendiquer,
il est d'ailleurs le président du consortium de la société civile
anglophone, organisation dissoute en janvier par le gouvernement
de Yang et là il n'est pas très content de voir venir à Bamenda
le Premier ministre dépêché par le kumkouma.
Et mieux encore que le palais d'Etoudi a indiqué dans un communiqué
que Paul Biya avait recommandé à ce dernier d’envoyer des
"délégations d’élites"anglophones dans leurs régions dès
dimanche 15 octobre afin de « dialoguer » avec les populations.
lundi 16 octobre 2017 Yang s'est alors rendu fièrement là-bas
un peu poltron sur les versants des abimes anglophones,
sur les versants des gouffres du nord ouest à Bamenda
où il a papoter avec des responsables des syndicats de transporteurs,
d'enseignants ,d’opérateurs économiques,
de vendeuses et vendeurs et peut être même de sorcières têtus,
Philémon yang a rencontré aussi des banquiers ,
et comme la guerre c'est comme à la guerre,
Felix Agbor Bala sur sa page Facebook écrira:
"Nous condamnons fermement, rejetons et nous
nous dissocions de ces visites"
mais pour la primature de Yang , il est question de mener
des consultations dans le cadre d'un processus de dialogue
avec les populations des zones anglophones du pays.
Instruction de Paul Biya encore en SUISSE.
Dans la dispute humoristique qui s 'y trouve,
il y'a l’espace territoriale qu'occupent les protagonistes ,
l'un est sur le terrain , cet espace réel qu'est Bamenda et
l'autre sur la toile, cet espace virtuel qu’est Facebook ,
aussitôt disons le à nous même et aux uns aux autres,
qu'au moment où sur internet Félix pose comme
préalable à toute "concertation" la libération de tous
les manifestants interpellés, un rapport sur le nombre de morts enregistrés
dans les régions anglophones et la convocation d'une table ronde
"en présence" des Nations unies.
Sur l'espace terrestre et nationale la fracture numérique est énorme.
vendredi 13 octobre 2017
ceux qui désertent l'UNESCO
l'Organisation des
Nations unies pour l'éducation, la science et la culture
est comme une suite de cris que fait le nouveau né à sa naissance ,
une telle comparaison est ce qui nous donne raison en ce moment où:
ni l’éducation ,ni la science , ni la culture ,
ne peuvent plus unir les hommes
ne peuvent plus être ce qui guide nos raisons
et dirigent bien des États à rester sur le divan de l’humanité.
Non que cela nous soit déplorable à dénoncer
non que cela nous attriste à relater ,
mais il faut bien qu'en le disant nous nous exclamons avec
la directrice générale de l'UNESCO Irina Bokova ,
«C'est une perte pour la famille des Nations unies.
C'est une perte pour le multilatéralisme»
ainsi après leur retrait de la COP21 en juin dernier,les États unis
ont annoncé ce Jeudi 12 octobre 2017 de se retirer de l' Unesco
et bah ceci ne nous étonne pas assez!
puisque Washington tout comme son allié Israël a perdu en 2013
son droit de vote à l'Unesco deux ans après avoir cessé lui aussi
de contribuer financièrement au sein de la dame qui éduque,
une cessation en réponse à l'admission de la Palestine
au sein de l'UNESCO. Et dans la foulée de ce jeudi 12 octobre Israël,
elle aussi a annoncé qu'elle quittait également l'organisation.
on voit bien des torses qui se redressent et les raisons qui sont avancées,
les Etats-Unis, qui accusent l'institution d’être "anti-israélienne".
Israël qui fait savoir que "L'Unesco est devenue le théâtre de l'absurde où
l'on déforme l'histoire au lieu de la préserver"
Danny Danon, ambassadeur d'Israël auprès des Nations unies avait
aussitôt déclaré "quand on pratique la discrimination contre Israël,
il faut en payer le prix" ainsi retenons le encore,
ni l’éducation , ni la science , ni la culture
ne peuvent plus unir à suffisance les hommes et ne peuvent plus être ce qui guide
nos raisons et dirigent bien des États à rester sur le divan de l'humanité.
est comme une suite de cris que fait le nouveau né à sa naissance ,
une telle comparaison est ce qui nous donne raison en ce moment où:
ni l’éducation ,ni la science , ni la culture ,
ne peuvent plus unir les hommes
ne peuvent plus être ce qui guide nos raisons
et dirigent bien des États à rester sur le divan de l’humanité.
Non que cela nous soit déplorable à dénoncer
non que cela nous attriste à relater ,
mais il faut bien qu'en le disant nous nous exclamons avec
la directrice générale de l'UNESCO Irina Bokova ,
«C'est une perte pour la famille des Nations unies.
C'est une perte pour le multilatéralisme»
ainsi après leur retrait de la COP21 en juin dernier,les États unis
ont annoncé ce Jeudi 12 octobre 2017 de se retirer de l' Unesco
et bah ceci ne nous étonne pas assez!
puisque Washington tout comme son allié Israël a perdu en 2013
son droit de vote à l'Unesco deux ans après avoir cessé lui aussi
de contribuer financièrement au sein de la dame qui éduque,
une cessation en réponse à l'admission de la Palestine
au sein de l'UNESCO. Et dans la foulée de ce jeudi 12 octobre Israël,
elle aussi a annoncé qu'elle quittait également l'organisation.
on voit bien des torses qui se redressent et les raisons qui sont avancées,
les Etats-Unis, qui accusent l'institution d’être "anti-israélienne".
Israël qui fait savoir que "L'Unesco est devenue le théâtre de l'absurde où
l'on déforme l'histoire au lieu de la préserver"
Danny Danon, ambassadeur d'Israël auprès des Nations unies avait
aussitôt déclaré "quand on pratique la discrimination contre Israël,
il faut en payer le prix" ainsi retenons le encore,
ni l’éducation , ni la science , ni la culture
ne peuvent plus unir à suffisance les hommes et ne peuvent plus être ce qui guide
nos raisons et dirigent bien des États à rester sur le divan de l'humanité.
mardi 10 octobre 2017
Que Cache MTNcameroon?
Ici c'est chez vous, vous y êtes comme chez MTN Cameroon,
et le vrai Ndem c'est lorsque tu passes à coté de ce qui te Fimba,
ce qui nous ressemble et nous connecte ensemble
c'est bien ce que tu Yamo.
MTN YAMO c'est en un clic sur ton smartphone et
tu vagues aisément vers l’épanouissement mais bon ,
on peut pas tout Yamo à la fois, parfois c'est le réseau MTN
qui Ndem et cette fois c'est pas toi qu'il Fimba.
On est habitué à ces annonces au goût de miel (ah sa on y reviendra)
Dimanche 7 octobre 2017 , MTN CAMEROON lance sa
nouvelle offre jeune, baptisé MTN YAMO et sur la place
ludique TCHOP ET YAMO de bonamoussadi Douala
le cadre est bien repéré pour bien s'identifier
alors sur ton téléphone tape désormais *220§ (ÉTOILE 220 DIESS)
pour un tarif préférentiel , des promotions surprises chaque samedi,
des bonus mensuels et un programme de fidélité permettant
d'accumuler des points réutilisables.
La rigolade c'est que chez MTN on est pas jeune de 0 à 77 ans
comme pour YAMO la-bas, il faut être âgé de moins 35ans.
Et qui s'empresse sur cette voie devra sans vergogne
faire usage d'un langage peu orthodoxe , mais est il
à la mode et pourquoi?
l’érection trop osée du numérique a la réponse en ce siècle.
Que celui qui s'engage à ce jeu publicitaire devra faire
usage d'un langage peu orthodoxe (gare aux élèves éparpillés),
genre "je call sans stress" , "je stay connecté à mes pots"
on est peut être pas loin de se faire envahir par un discours décousu
et qui se complète dans une justification du type c'est un langage
propre aux jeunes camerounais et si l'on se renseigne auprès de nos oncles,
ils nous apprendront qu'au Cameroun nous disposons de plus
de 200 dialectes et de deux langues officielles que sont
l'anglais et le français,
On est habitué à ces annonces au goût de miel qui vous palpent le palais
et vous construisent un discours publicitaire dans ce que
la rue nomme le CAMFRANGLAIS .
Et la réussite est bien celle que l'entreprise prise ,
conquérir une clientèle encore jeune, plus jeune et toujours très jeunes ,
et le yamo est là pour la communauté jeune la plus génial du Cameroun
MTN YAMO c'est l'offre qui nous ressemble.
et le vrai Ndem c'est lorsque tu passes à coté de ce qui te Fimba,
ce qui nous ressemble et nous connecte ensemble
c'est bien ce que tu Yamo.
MTN YAMO c'est en un clic sur ton smartphone et
tu vagues aisément vers l’épanouissement mais bon ,
on peut pas tout Yamo à la fois, parfois c'est le réseau MTN
qui Ndem et cette fois c'est pas toi qu'il Fimba.
On est habitué à ces annonces au goût de miel (ah sa on y reviendra)
Dimanche 7 octobre 2017 , MTN CAMEROON lance sa
nouvelle offre jeune, baptisé MTN YAMO et sur la place
ludique TCHOP ET YAMO de bonamoussadi Douala
le cadre est bien repéré pour bien s'identifier
alors sur ton téléphone tape désormais *220§ (ÉTOILE 220 DIESS)
pour un tarif préférentiel , des promotions surprises chaque samedi,
des bonus mensuels et un programme de fidélité permettant
d'accumuler des points réutilisables.
La rigolade c'est que chez MTN on est pas jeune de 0 à 77 ans
comme pour YAMO la-bas, il faut être âgé de moins 35ans.
Et qui s'empresse sur cette voie devra sans vergogne
faire usage d'un langage peu orthodoxe , mais est il
à la mode et pourquoi?
l’érection trop osée du numérique a la réponse en ce siècle.
Que celui qui s'engage à ce jeu publicitaire devra faire
usage d'un langage peu orthodoxe (gare aux élèves éparpillés),
genre "je call sans stress" , "je stay connecté à mes pots"
on est peut être pas loin de se faire envahir par un discours décousu
et qui se complète dans une justification du type c'est un langage
propre aux jeunes camerounais et si l'on se renseigne auprès de nos oncles,
ils nous apprendront qu'au Cameroun nous disposons de plus
de 200 dialectes et de deux langues officielles que sont
l'anglais et le français,
On est habitué à ces annonces au goût de miel qui vous palpent le palais
et vous construisent un discours publicitaire dans ce que
la rue nomme le CAMFRANGLAIS .
Et la réussite est bien celle que l'entreprise prise ,
conquérir une clientèle encore jeune, plus jeune et toujours très jeunes ,
et le yamo est là pour la communauté jeune la plus génial du Cameroun
MTN YAMO c'est l'offre qui nous ressemble.
mercredi 4 octobre 2017
De quel Dialogue politique parle t- on ?
Le 1er octobre au Cameroun se poursuit comme sur la cour
de recrée, où plusieurs gamins épiloguent sur le droit d'ainesse
ils s'handicapent de leurs raisons et plongent librement leurs libertés
sur le mur , un mur qu’ils percent au quotidien pour voir jaillir
une lumière incertaine.
Ce n'est ni un peuple ce n'est ni celui qui le gouverne
ce sont des hommes tous ballonnés par l’idée de renaissance
ou de maintient, chacun a son couloir sur la piste
du 1er octobre 1961 , la réunification.
On s'est alors réuni sur les parcours protectionnistes de Bamenda
on, s'est alors réuni sur les allées entremetteuses de Yaoundé
on s'est tous réuni auprès des comptoirs coloniaux pour
défendre une culture étrangère.
Et s'est alors qu'on s'est embrassé de querelles qui nous font encore rire.
Dimanche 1er octobre 2017, le cordon sécuritaire s'est intensifié
il s'est allongé sur toute les allées des régions du nord ouest
et du sud ouest où les indépendantistes, révolutionnaristes
et sécessionnistes ont toujours en projet de crier ,
de crier contre les protectionnistes , crier contre les conformistes
et de crier contre les cols blancs du gouvernement Biya et
politistes anglophones qui techniquement à Foumbam ont décidé
de cette réunification, aujourd’hui remise en question par
la partie anglophone du Cameroun.
La guerre est aussi celle des réseaux sociaux où l’État d'Ambazonia
hisse son drapeau et son hymne et forge ses institutions.
"rien de grand ne peut se construire dans la surenchère verbale,
la violence de rue et le défi de l'autorité " cite Paul Biya
depuis un logement sur internet.
Au lendemain de querelles du 1er octobre 2017 marqué
par le drapeau flottant d' Ambazonia à Liberty square ,
après des couvres feu encore fumigènes ,
après des discours toujours corporatistes où francophone et anglophone
se perdent à ne plus être Camerounais,
c'est alors à la francophonie et au Commonwealth de parler
mais au nom de qui dans un État souverain?
« Les tensions en cours dans ces régions du Cameroun,
sont très préoccupantes. La violence ne doit jamais être une option
pour se faire entendre », écrit Michaëlle Jean secrétaire générale de l'OIF
"Le Secrétaire général est profondément préoccupé par la situation
au Cameroun, notamment au vu des récents incidents sécuritaires
à Bamenda et à Douala et de la montée des tensions dans les régions
du Sud-Ouest et du Nord-Ouest liées aux événements prévus
le 1er octobre" cite Stéphane Dujarric, porte-parole
du Secrétaire général de l'ONU.
la froideur y est encore dans les rues du pays , l'internet est perturbé
et les routes musclées par l’armée , les frères, les uns et les autres
pourtant ni anglophones ni francophones ironisent sur
un Cameroun Un et indivisible,
puisque dans les bureaux, des collègues aux langues différentes s'ignorent
et même qu'ils ne sont plus Camerounais mais Francophones et anglophones ,
le bilan de ces turbulences est un enchainement belliqueux des chiffres,
Lundi un bilan est établi par Amnesty International et souligne17morts
le Gouvernement parle de cinq morts dans une tentative
d'évasion dans une prison du Nord-Ouest, au quel s'ajoute la mort
de cinq détenus dans une prison de Kumbo, et le chiffre est flexible
pour les politistes anglophones :
au moins une trentaine de morts au compteur.
Et puisque ce qui est ne concerne pas que ceux qui sont,
ainsi le Reseau des defenseurs des droits humains en Afrique
annonce un bilan d'au moins 100 morts dans
un communiqué rendu public le 3 octobre 2017.
de recrée, où plusieurs gamins épiloguent sur le droit d'ainesse
ils s'handicapent de leurs raisons et plongent librement leurs libertés
sur le mur , un mur qu’ils percent au quotidien pour voir jaillir
une lumière incertaine.
Ce n'est ni un peuple ce n'est ni celui qui le gouverne
ce sont des hommes tous ballonnés par l’idée de renaissance
ou de maintient, chacun a son couloir sur la piste
du 1er octobre 1961 , la réunification.
On s'est alors réuni sur les parcours protectionnistes de Bamenda
on, s'est alors réuni sur les allées entremetteuses de Yaoundé
on s'est tous réuni auprès des comptoirs coloniaux pour
défendre une culture étrangère.
Et s'est alors qu'on s'est embrassé de querelles qui nous font encore rire.
Dimanche 1er octobre 2017, le cordon sécuritaire s'est intensifié
il s'est allongé sur toute les allées des régions du nord ouest
et du sud ouest où les indépendantistes, révolutionnaristes
et sécessionnistes ont toujours en projet de crier ,
de crier contre les protectionnistes , crier contre les conformistes
et de crier contre les cols blancs du gouvernement Biya et
politistes anglophones qui techniquement à Foumbam ont décidé
de cette réunification, aujourd’hui remise en question par
la partie anglophone du Cameroun.
La guerre est aussi celle des réseaux sociaux où l’État d'Ambazonia
hisse son drapeau et son hymne et forge ses institutions.
"rien de grand ne peut se construire dans la surenchère verbale,
la violence de rue et le défi de l'autorité " cite Paul Biya
depuis un logement sur internet.
Au lendemain de querelles du 1er octobre 2017 marqué
par le drapeau flottant d' Ambazonia à Liberty square ,
après des couvres feu encore fumigènes ,
après des discours toujours corporatistes où francophone et anglophone
se perdent à ne plus être Camerounais,
c'est alors à la francophonie et au Commonwealth de parler
mais au nom de qui dans un État souverain?
« Les tensions en cours dans ces régions du Cameroun,
sont très préoccupantes. La violence ne doit jamais être une option
pour se faire entendre », écrit Michaëlle Jean secrétaire générale de l'OIF
"Le Secrétaire général est profondément préoccupé par la situation
au Cameroun, notamment au vu des récents incidents sécuritaires
à Bamenda et à Douala et de la montée des tensions dans les régions
du Sud-Ouest et du Nord-Ouest liées aux événements prévus
le 1er octobre" cite Stéphane Dujarric, porte-parole
du Secrétaire général de l'ONU.
la froideur y est encore dans les rues du pays , l'internet est perturbé
et les routes musclées par l’armée , les frères, les uns et les autres
pourtant ni anglophones ni francophones ironisent sur
un Cameroun Un et indivisible,
puisque dans les bureaux, des collègues aux langues différentes s'ignorent
et même qu'ils ne sont plus Camerounais mais Francophones et anglophones ,
le bilan de ces turbulences est un enchainement belliqueux des chiffres,
Lundi un bilan est établi par Amnesty International et souligne17morts
le Gouvernement parle de cinq morts dans une tentative
d'évasion dans une prison du Nord-Ouest, au quel s'ajoute la mort
de cinq détenus dans une prison de Kumbo, et le chiffre est flexible
pour les politistes anglophones :
au moins une trentaine de morts au compteur.
Et puisque ce qui est ne concerne pas que ceux qui sont,
ainsi le Reseau des defenseurs des droits humains en Afrique
annonce un bilan d'au moins 100 morts dans
un communiqué rendu public le 3 octobre 2017.
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